LA POLICE ASSASINE SOUS LA TOLERANCE DE L’ETAT
Durant l’ anniversaire de la revolte de l’ École Polytéchnique (1973)
a Théssalonique, beaucoup de personnes qui voulaient s’ approcher la
place de la demonstration étaient arrêtés et frappés par les flics
parce qu'ils étaient considerés comme des suspects de leur participation
aux événements violents. Entre eux, Vaggelis Goulousis (30 ans)
brutalement frappé pendant 6 heures dans le comissariat était trouvé mort
chez lui le lendemain sous des conditions “indefinies”.
Ces conditions “indefinies” sont bien connues du passé. Il s’ agit
des brutalités et des tortures dans les comissariats contre les
lutteurs, les immigrants et contre tous ceux qui se trouvent sous la pression
de l’ État. Il s’ agit des assassinations des poursuites des
“suspects” (qui ne se passent pas seulement en France) et aussi contre les
prisonniers revoltants.
La repression étatique, les pogroms, les detentions massives, les
recherches dans les appartements des “suspects” et dans les endroits d’
activité sont bien attachés aux attaques des néonazis contre les
anarchistes, les gauchistes et les immigrants et aussi aux attaques contre
les squats.
Nous avons decidé l’ occupation de l’ École Polytéchnique d’ Athènes
en proposant la solidarité sociale contre les attaques étatiques.
ON N’ OUBLIE PAS – ON N’ EXCUSE PAS –
ON CONTINUE
VIOLENCE CONTRE LA VIOLENCE DE L’ AUTORITÉ
Athènes, Lundi le 21 Novembre 2005
…Ceux qui sont dans l’ École Polytéchnique