CSA / barcelone

alors bon plein de nouvelles, des bonnes et des moins bonnes.

On va commencer par les bonnes pasque comme ça on finit avecle
sourire.

Expulsions dans le quartier de >Sant andreu des maisons de la rue
Virgili. la nuit avant l'expulsion des habitantEs d'une des maisons ont
brule ts les meubles ds la rue brulant les cables electriques de la rue
et laporte du voisin. le lendemain la maison etait expulsée.
l'essemblée
d'okupas de sant andreu a pris ses distances avec les habitantEs de
cette
maison, assurant n'avoir aucun contacts avec elleux.

Menaces sur plusieurs maisons a Sant andreu.le quartier subit un
nettoyage de printemps et donc plusieurs squat (au moins 6) sont
menacés
dont certains vieux de plusieurs années.

Pressions au Forat de la Vergonya ou une famill est en attente de
relogement mais l'agence immobiliere voulait l'expulser ss lui
attribuer
un autre doñicile. la mobilisation du quartier apermis d'obtenir un
delais de 2 mois. dans ce mem immeuble un etage est squaté, ce quilui
permet de le rester deux mois de plus. Mais la police municipale
(guardia
urbana) ne cesse de se presenter devanbt laporte, a fracturer la
serrure, controler les personnes qui la reparaient. Au meme moment
hier,
la police nationale contraolait toutes les personnes presentes a
l'atelier de velo de Metges. Mais le quartier resiste !!!!

passons donc aux bonnes nouvelles :

L'ateneu libertaire de Viladecans (banlieue barcelonaise) n'a pas ete
expulse mardi 19/04. la police qui aurait du se presenter a partir de
9h
du matin n'est pas venue. Un responsable a declare que vouloir eviter
de
graves emeutes liées a la presence de jeunes radicaux violents
provenant
de villes limitrophes. L'ateneu resiste, apres 10 années d'occupation
!!!!

Nouvelle occupation a Sant andreu lieu de vie mais aussi espace
d'activite qui sera bientot ouvert.
Nouvelle occupation a la Floresta (campagne barcelonaise), Kan Flo
maison
d'habitation mais aussi un projet de centre culturel.
et bin voila plus d'infos si vs voulez sur :
https://squat.net/usurpa
http://sindominio.net/zitzania/

25/6 Barcellona - Manifestazione in solidarietà con i prigionieri
italiani

Nelle ultime due settimane le forze dell'ordine, in particolare la
polizia
di stato, hanno dato un duro colpo agli anarchici accusati dell'invio
di
pacchi bomba e attentati esplosivi. In totale sono stati arrestati 26
anarchici e sono state realizzate più di 150 perquisizioni.

- 11 maggio: l'anarchico italiano Francesco Gioia è stato arrestato a
Barcellona durante un'operazione congiunta dei carabinieri di Pisa e
della
brigata antiterrorismo della polizia spagnola (operazione
dell'EUROPOL). Ora
è in Spagna in attesa dell'estradizione. Francesco era fuggito
nell'estate
scorsa mentre si trovava agli arresti domiciliari ed è accusato di
associazione sovversiva e di appartenere alle COR (Cellule di Offensiva
Rivoluzionaria).

- 12 maggio: 5 anarchici sono arrestati a Lecce e accusati di vari
sabotaggi
commessi tra il 2003 3 il 2004. Durante la stessa operazione poliziesca
sono
state perquisite 25 case.

- 19 maggio: 7 arresti tra il gruppo anarchico Fraria e 50
perquisizioni in
Sardegna. Attualmente i prigionieri sono agli arresti domiciliari.

- 26 maggio: 5 arresti a Viterbo e Pescara, 25 perquisizioni e
sequestro
della pagina web della Croce Nera Anarchica.

- 27 maggio: la procura di Bologna ordina l'arresto di 7 anarchici in
varie
città d'Italia e si effettuano circa 80 perquisizioni.

In totale i prigionieri sono 16. Tutti/e sono accusati dell'Art. 270
bis del
C.P. (associazione sovversiva con finalità terrorista), accusa usata
dallo
stato italiano negli ultimi anni per indagare e incarcerare molti
compagni
basandosi unicamente sulle relazioni di affinità tra di loro e sulla
teoria
del doppio livello, per cui non servono le prove per accusare qualcuno
di
un'azione, ma è sufficiente dimostrare che è in contattato con qualcun
altro. Tutte le indagini si basano su intercettazioni telefoniche e
ambientali.
Con questa serie di colpi repressivi lo stato italiano tenta di por
fine
alle lotte mirando a colpire tutti coloro che frequentano l'ambiente
"anarchico" o rivoluzionario. Provocando uno stato di paranoia e paura
nel
movimento.
E' arrivato il momento di rispondere a questa situazione prima che lo
stato
italiano ottenga i suoi obiettivi distruggendo un intero movimento. Se
lo
stato italiano vincerà è probabile che anche lo stato spagnolo non
tarderà
ad applicare le stesse misure qui da noi.
Convochiamo una manifestazione sabato 25 giugno alle ore 18 a
Barcellona in
Piazza Urquinaona.

Contro lo stato destabilizzazione, anarchia, insurrezione.

***

[Barcelona] Manifestación en solidaridad con los represaliados en
Italia

En las dos últimas semanas las fuerzas del orden, en particular la
policía
de estado, han dado un duro golpe a los grupos anarquistas acusados del
envío de paquetes bomba y atentados explosivos. En total han sido
detenidos
26 anarquistas y se han efectuado más de 150 registros.

- 11 de mayo: es detenido en Barcelona el anarquista italiano Francesco
Gioia tras una operación conjunta entre los carabinieri de pisa y la
brigada
antiterrorista de la policía española (operación de la EUROPOL) y esta
preso
en España en espera de la extradición. Francesco estaba fugado de una
detención domiciliaria desde el verano pasado y está imputado por
asociación
subversiva y por pertenecer a las COR (Células de ofensiva
revolucionaria).

- 12 de mayo: 5 detenidos anarquistas en Lecce acusados de varios
atentados
cometidos en el 2003 y 2004. En la misma operación han sido efectuados
25
registros en domicilios.

- 19 de mayo: 7 detenciones en Cerdeña del grupo anarquista Fraria, y
se han
efectuado 50 registros. Actualmente los 7 detenidos están en detención
domiciliaria.

- 26 de mayo: 5 detenidos en Vitterbo y Pescara, 25 registros y
secuestro de
la página web de la Cruz Negra Anarquista.

- 27 de Mayo: 7 anarquistas son detenidos efectuados por la fiscalía de
Bolonia en varias ciudades de Italia, y se producen alrededor de 80
registros.

En total son 16 en prisión. A todos ellos se les está acusando del Art.
270
bis de C.P. (asociación subversiva con finalidad terrorista), acusación
que
en los últimos años el estado italiano ha usado para investigar y
encarcelar
a muchos compañeros basándose únicamente en las relaciones de afinidad
entre
ellos y en la teoría del doble nivel con lo que no hace falta que hayan
pruebas para acusar a alguien de un acto, sólo con probar las
relaciones ya
es suficiente. Todas las investigaciones se basan en interceptaciones
telefónicas y ambientales.

Con esta serie de golpes represivos el estado italiano intenta acabar
con
las luchas poniendo en el punto de mira a todo aquel que se acerque al
entorno "anarquista" o revolucionario. Provocando un estado de paranoia
y
miedo dentro del movimiento.

Ha llegado el momento de reaccionar en contra de esta situación antes
de que
el estado italiano se salga con la suya y aniquile a todo un
movimiento. Y
no sólo en Italia, pues si allí les sale bien tardarán poco en hacerlo
por
aquí.

Convocamos una manifestación El sábado 25 de junio a las 18H en la
Plaza
Urquinaona de Barcelona

Contro lo stato destabilizzazione, anarchia, insurrezione

***

ce matin vers 8h30 ss avis les unites anti-emeutes du corps de police
nationale sont entrés ds la Ostia, squat ouvert il y aun mois en plein
centre ville de barcelone. voici unpetit recit des faits pour rien au
monde impartial mais tta fait passionné.

Tt commence hier soir vers 4h du mat quand les habitantEs dela Ostia
decouvrent un etrange ballet ds la rue : flics en civils en uniformes,
a
ts les coins de ru, plus de voitures devant le squat. Pas betes ils
pensent expulsions. Pourquoi ??? pasque ce squat ouvert le jour de la
venu du maire ds le quartier est un affront a l'equipe municipale
(gauche, gauche et regauche) qui entend convertir le centre ville en
monument historique desert ou tres cher. dehors les pauvres les
retraitéEs les immigréEs... place aux touristes aux nvelles classes
moyennes et tatati.

Et donc vers 4h du mat un epatrie du materiel est achemine jusqu'a
diverses maisons du centre,elles aussi squattées. L'alerte est donnée,
mais peute tere s'agit il seulement de paranoïa.

8h30 : les fourgonettes anti-emeutes arrievnt au noùmbre de 5 soit 40
flics plus une dizaine de civils et celleux chargéEs de couper la
circulation. La rue princessa est coupée.

9h : les premiers vaertis de l'expulsion arrivent sur les lieux. les
flics sont sur le toit mais des apparitions de perzsonnes masquées aux
fenetres laissent penser qu'ils ne sont pas entrés partout.

9h10 : les 6 personnes que ns sommes sont violemment refoulées en
dehors
d'un perimetre arbitrairement defini selon les flics et selon des
criteres bien particuliers. on note qu'illes sont tres tenduEs.

10h : une vingtaine de personnes est concentrée ds la rue qd ns
apercevons les flics embarquer de spersonnes ds une voiture. un groupe
essaye d'ouvrir lesportes peines perdues.

10h20 Une barricade tres sommaire blmoque alors la rue princessa
empechant
les vehicules de partir. mais elle n'est pas defendue. de tte façon les
voitures de police empruntent un autre chemin.

10h30 : plusieurs personnes avec un caddy de supermarché demandent a
aller
aider les habitantEs pour demenager le materiel. refus des flics,
pressions diverses, insultes et la tt d'un coup le cadie vole ds les
cotes
d'une amie les flics sortent les matraques et on en prend plein la
gueule.
pendnat une minute on retient leur progression puis;.. ils chargent.

10h35 : dispersion de la concentration, une dizaine de personnes
barricade
la rue tres sommairement et caillassent les anti-emeutes rue princessa.

10h36 :nvelle charge rue tantarantana.

10h40 : tt lemonde sain et sauf se retrouve dvt metges ds le parc du
forat
dela vergonya. on compte les coups reçus. la nvelle tombe : 12 detenus,
ttes les habitantEs avec des charges d'usurpation et desobeissance et
pour
d'eux d'entre elleux resistance.

1OH50 : une quarantainede personnes sont reunies devant metges. pas de
nvlles des flics.

11h : des nvelles tombent : les flics sont sur les nerfs apres le
caillassage il ya qq minutes du commissariat via layetana, a qq
centaines
de metres de la. pas de nvelles detentions. les flics en civil tournent
tjs par la.

11h30 : on apprend que les personnes sont retenues au commissariat Nou
dela Rambla. rassemblement convoqué la-bas.

A l'heure qu'il est les personnesne sont pas encore sorties mais a
priori
devrait sortir aujoiurd'hui sauf l'une d'elle a l'hopital.on ne connait
pas les motifs de sontransfert a l'hopital. il n'y apas eu de detention
ds la rue lors des diverses charges.

voila c'etait la ostia. si vs voulez voir a quoi ça ressemblait
(parait
qu'y vont demolir) allez voir sur
https://squat.net/laostia

resistencia okupa

Et bien et bien ... un petit rappelil s'agit d'un squat expulsé ds le
centre de barcelone jeudi matin. La police a detenu ts les habitantes,
soit 12 personnes.

Le soir illes etaient toutes libres avec des accusations de usurpation
(c
quand on squatte et c penal) et resistance grave. pour deux d'entre
elleux ils avaient "attentat a l'autorite" ce qui est plus chaud.tous
se
sont pris des coups au commissariat et l'un d'eux beaucoup plus.

Pendant ce temps la devant le commissariat une trentaine de personnes
se
sont rassemblées pour exiger la libération sans condition des detenues.
Lors de cette concentration trois flics en civils (deux avec des
blessures au visage) ont joue les provocateurs,recherchant apparemment
qq'un ou plus. D'apres recoupages d'infos avec les journaux ce serait
des
flics qui seseraient pris des coups lors de l'attaque rapide du
commissariat ds la matinée. Leur colere les a amene a distribuer des
coups de matraque a l'un des detenus recemment libere apres avoir
essayer
de le percuter avec uen voiture banalisée !!!


le lendemain a 20h une cinquantaine de personnes se sont rassemblées
devant la cathedrale puis sont partis en manif. devant marchait
"patrizio" le pape squateur sermonnant continuellemnt la plebe. son
discours comparait les okupas aux chretiens des premiers temps luttant
contre les romains. la manif convoquee de maniere discrete ne fut pas
suivie par la police. a la stupefaction des touristes elle descendit la
rambla puis s'arreta devant la mairie ou moluts petards furent tires
dispersant un mariage.

puis elle continua son chemin pour s'arreter devant la Ostia ou loge un
ou
pousieurs vigiles. Des petards furent tires ds l'edifice, graffs. puis
subitement les gens attaquerent un generateur de chantier place devant
le
batiment qui allait servir ss aucun doute a le murer. d'autres jeterent
au
sol un epalette entiere de briques qui se rompirent. la rue fut
coupéee;
toujours pas de police.

la manif continua par carders rue pietonne et s'arreta qq instants
devant
la caixa penedes (banque proprio du squat) tres rapidemant une dizaine
de
personnes exploserent ttes les vitres puis la manif continua en
direction
du forat de la vergonya et se dispersa. une manif ss incidents.


sinon : selon la presse il y eut reellement une attaque contre le
commissariat de la via Layetana ou un gant fut blesse par les jets de
pierre. lors de l'expulsion deux agents furent blessés par des jets de
pierre ds la rue avec les sympathisantEs du squat qui protestaient.


voili voilou

POur faire pression sur la justice afon d'obtenir la libération sans
caution des trois manifestantEs incarcérées (depuis le 27 juin), voici
quelques manifest-actions qui ont eu lieu ces derniers jours :

mardi 28 : 80 personnes font le tour de la prison de femmes Wad Ras
vers
20h sous la surveillance d'un important dispositif policier.

mercredi 29 : 8h15 du mat, la circulation est bloquée au niveau de
l'avenue Arago pendant une heure. un barrage filtrant mis en place
permettant de distribuer des tracts informant sur la mise en détention
de trois manifestantEs. Fort dispositif policier qui contrôlera de
nombreuses personnes une fois l'action terminée.

jeudi 30 : vers 20h tour de prison autour de la Modelo où sont
retenues
deux personnes. Cris slogans sifflets et pétards. Forte présence
policière.


Parallèlement à cela un recours a été déposé pour demander la mise en
liberté immédiate des trois personnes incarcérées depuis lundi. Le juge
devrait donner sa réponse lundi prochain 4 juillet.

voili voilou

Giornate di coordinamento contro la repressione

· Le giornate avranno luogo alla Fera de Gràcia (C/Santa Àgata, 28
Metro:Fontana, L3

· Lo scopo di queste giornate é mettere in comune le differenti
esperienze
di lotta contro la repressione di gruppi e individualità, per poter
migliorare le carenze in questo ambito di lotta.

VENERDI 14, 18:00 h
- presentazione e metodologia
- informazione e diffusione

SABATO 15, 11:00 h.
- campagne
- prepararsi agli attacchi repressivi

DOMENICA 16, 11:00 h.
- solidarietà diretta con le persone sottoposte a repressione

-Per maggiori informazioni sul contenuto delle giornate è possibile
consultare la pagina web www.presosalacalle.tk o mandare un e-mail a
presxsalacalle@riseup.net

"prendetevi cura gli uni degli altri, proteggetevi l'un l'altro nelle
lotte
sul fronte e non dimenticate mai i prigionieri poiché domani
prigionieri dei
mostri di questa terra potrete essere voi ... non ci fermeranno mai"

Maggiori informazioni:
http://www.anarcotico.net/index.php?module=Calzone&view=event&eid=847&date=10/14/2005

- alors comme je ne peux pas resumer 6 mois de silence on va se centrer
sur les derniers 3 mois.

Les faits marquant de l'été sont l'expulsion

- le 28 juin dernier du* KOLP (Komplex Okupat Ludo-Politic) La
Fera*
du quartier de Gracià occupé depuis plus de deux ans. L'expulsion a eu
lieu la veille de la date fixée par la justice. Vers 22h une
cinquantaine de personnes ont dressées des barricades enflammées en
divers endroit du quartier et misle feu a un transformateur electrique
se trouvant sous le squat, privant d'electricite une grande partie du
voisinage (1500 foyers selon les journaux). Puis apres avoir attendu
en
vain lapolice qui a préféré attendre au loin, a l'abris des tirs de
fusées d'artifices (cohetes), le groupe de personne a disparu après
avoir au préalable détruit maintes vitrines de banques, agences
d'interim, et inmobilières. Bien sûr il n'y eut aucun détenuEs. La
presse fit grand bruit de l'affaire, la figur des squatteureuses
vandales et violentEs resurgit. Mais aussi la conseillere a l'interieur
du gouvernement de Catalogne faillit perdre sa place pour les nombreux
reproches faits a la police autonomique (Mossos d'Esquadra)
d'intervenir
tardivement.

- Le Centre social du quartier de Sants,* Can Vies*, squatté depuis
10 ans a commencé une procédure judiciaire. Le propriétaire des lieux
n'est autre que la compagnie de métros de Barcelone TMB. Le squat,
situé
au dessus d'une ligne de métro a ciel ouvert et non loin de la gare de
Sants (principale gare de Barcelone) se trouve pris au piège d'un vaste
plan de remodelisation du quartier. En juillet dernier un bus rempli de
milicienNEs armées de faux fusils a défilé dans barcelone, revendiquant
les 70 ans de la révolution espagnole, la collectivisation des
transports en commun et la défense de Can Vies. Le bus s'est arrêté
devant la prefecture de police et le commissariat du quartier de Sants
pour mettre en joue les forces de l'ordre.

et puis en vrac : expulsions du *KasiKasa* de Guinardó, de deux
maisons
à Lesseps, d'une dans le centre ville, de* la Rossenda* de Sants. Mardi
le centre social* La Krispa* (Korneya, banlieue barcelonaise) a été
expulsé après plusieurs mois de resistance. Lors de la manifestation
qui
a suivi la policenationale a violemment chargé les 200 manifestantEs :
http://barcelona.indymedia.org/newswire/display/274986/index.php

- nvelles occupations à : Poble Nou, Santa Coloma, Horta, Vallcarca
(quartiers de Barcelone)

- les trois squatteurs du 4 fevrier continuent emprisonnés. de
nombreuses actions de visibilisation ont eu lieu tout l'été, comme des
graffs sur plusieurs mairies de quartier, deux rassemblements devant la
mairie en septembre au moment de discours officiels.

Lundi matin, 2 octobre vers 9h, un groupe d'ouvriers a débarqué dans le
parc autogéré du centre ville connu sous le nom de Forat de la
Vergonya,
pour réaliser des travaux dans la rue qui le jouxte. Ils ont eu la
mauvaise idée d'installer leurs grilles dans le parc, annexant une
frange de trois metres de large. La reaction ne s'est pas fait attendre
: une dizaine de personnes est allée repousser les grilles aux abords
du
parc.

Et là, la saga a commencé... 5 fourgons des anti-emeutes de la
police municipale (UPAS) sont arrivés casqués et bottés. Ils ont
repoussés les personnes présentes et ont protégé la dite grille...

Une cinquantaine de personne s'est rassemblée alors pour les
empêcher d'occuper l'ensemble du parc. Une réunion extraordinaire a eu
lieu et le lendemain matin 100 personnes se ssont retrouvées dans le
parc des 8h du mat... devant le meme cordon policier que la veille. En
fait les fourgons sont restés toute la nuit par crainte d'actions
contre
les travaux en cours.

Dans la journée de mardi, les négociations en cours avec la mairie
ont été définitivement rompues par cette dernière. C'est la guerre. Une
manif est prévue pour le jeudi ... oui mais ...

Mercredi 3 octobre vers 11h du mat la police effectue un mouvement
d'annexion de la totalite du parc. Vers midi une centaine de personnes
sont la séparés des UPAS par des grilles (ils se sont retranchés a
l'interieur du parc). Cris, slogans, quelques pierres volent... Le
quartier se remplit depoliciers, peu à peu. Vers 13h ils chargent pour
degager la rue metges. Les UPAS montent une barricade a hauteur du
squat
metges. Les reste des personnes présentes decide de partir en manif et
va occuper pendant une bonne demi heure la Via Layetana (grand axe du
centre ville), puis se disperse en prévision de la manif d'aujourd'hui.

plus d'infos :
http://barcelona.indymedia.org/newswire/display/276305/index.php
http://barcelona.indymedia.org/newswire/display/276384/index.php
http://barcelona.indymedia.org/media/all/display/29491/index.php
http://barcelona.indymedia.org/newswire/display/276057/index.php

et video :
https://www.youtube.com/watch?v=jhPbVMBPPWU


Le parc du Forat de la Vergonya c'est quoi ??
C'est un espace vert créé par les habitantEs d'un quartier du
centre
ville de Barcelone. Né un première fois en 2002, détruit deux fois par
la police municipale, le Collectif Forat de la Vergonya obtient une
victoire en 2004 puisque la mairie abandonne le combat. Totalement géré
et entretenu par des habitantEs du quartier, on y trouve une scene pour
des spectacles, des jeux pour enfants auto-construits, une fontaine
auto-construite, un potager, des bancs ... C'est devenu un lieu
convivial pour les habitantEs du quartier, jeunes et vieux/vieilles,
lieu de manifestations culturelles et politiques qui echappe totalement
aux pouvoirs publics.
Depuis 2005 des négociations sont en cours mais la mairie a
toujours
imposé son point de vue. Le projet municipal c'est un parc oui mais
avant on casse l'ancien pour en faire un "aux normes".

fist

nouvelles news des squats à barna

"no tindras una casa en tu puta vida"
samedi dernier 1er octobre, la mani pour une "habitation digne" a réuni
pres de 10000 personnes. La spéculation immobilière, la destruction des
quartiers populaires pour en faire des supermarchéss à touristes, le
fait d'hypotéquer sa vie pour pouvoir simplement se loger, les
expulsions organisées conjointemennt par les proprios et l'état était
pele mele dénoncés.
Si une partie de la manif demandait de l'aide des pouvoirs publics, une
autre défilait sous la banderolle "si tu veux un maison de demande
rien,
prends la!". V de vivienda (http://bcn.vdevivienda.net), le collectif à
l'origine du truc est entre autre composé de squatteureuses, et a
choisi
une stratégie communicative assez ouverte qui a débouché sur une manif
massive, marrante, bigarrée, animée ou on sentait un vrai plaisir des
gens à occuper ensemble la rue.
une video de la manif ici https://www.youtube.com/watch?v=SwSB2PbaR3o

Dans les prochaines semaines, les ministres du logement se retrouvent à
barna puis les plus grandes agences immobilières organise leur sommet
du
"meeting point", des mobilisations sont prévues pour essayer dé faire
chier les

le forat
suite aux évenements du début de semaine derniere (voir mail précédent
sur le sujet), une manif de protestation était prévu jeudi contre la
destruction du parc autogéré et occupé du forat de la vergonya. Pres de
1000 personnes se retrouvent derriere une banderolle "el forat no se
toca, moind de ville plus de jungle".
On constate assez vite que tres peu d'habitant-e-s du quartier sont
présent-e-s. Ce parc si populaire, gagné par une lutte menée par des
voisin-e-s, soutenu par tout un quartier, est mort. Et on se rend alors
aussi compte que la stratégie de la mairie, jouer le dialogue avec les
collectif de voisin-e-s a mieux fonctionner que prévu. Finallement,
peut-etre que les voisin-e-s ont eu ce qu'illes voulaient, un parc sera
construit par la mairie et geré par elle.
La manif part quand même en cortege en évitant le point chaud du forat
ou la police attend en masse. Si les voisin-e-s ne sont pas venu, la
mobilisation de la communauté okupa est tres forte. Arrivé via laietana
(gros boulevard du centre) la manif prend une teinte tres noire, des
torches s'enflamment, et l'impression visuelle est clairement à une
manif offensive et colereuse. La police suit de pres, et la tension est
présente sur tout le parcours. Comme souvent ici, des gens tagguent les
murs, d'autres collent des affiches, des pétards et feu d'artifice sont
lancé.
Arrivée dans le raval, la manif est desconvoquée, face a un cordon
policier protegeant l'acces à un bureau municipal de l'urbanisme.
Alors que des bombes de peintures sont lancés sur le macba, 3 mossos
essayent d'arreter quelqu'une. Des manifestant-e-s répondent à la
charge
en lançant tout ce qu'illes ont entre les mains, notamment des fusées
d'artifice. Dans le chaos qui suit, deux personnes sont interpellées et
quelques destructions de mobiliers urbains ont lieu.
Et depuis, une nouvelle campagne politico-mediatico-policiere contre
les
squats avec des mise en scene complétement halucinante, genre photo en
contre-plongée dans le noir derriere des grillages pour faire monter la
sauce spéctaculaire en même temps que les ventes en dénonçant la
violence des okupas et surtout ne pas parler du pourquoi...
http://www.elperiodico.com/default.asp?idpublicacio_PK=46&idioma=CAT&idnoticia_PK=345840&idseccio_PK=1022dans
http://www.elmundo.es/elmundo/2006/10/06/videos/1160123620.html
Divers politiques et flics relayé dans tous les médias tente d'imputer
aux habitant-e-s du squat "metges" les désordes de ces derniers jours
et
ainsi d'accélerer l'expulsion prévue dans plusieurs mois.

voila avec tout ça, on essaye de pas etre triste

@ un de ces 44

Dans la nuit du 13 au 14 mai 2007, un communiqué ("salir sin salida")
a
été collé aux alentours des maisons occupées, en guise de mot
d'adieu au
voisinage et d'explication de l'action.

Une banderole a été déployée depuis les maisons, disant "nous avons
le
feu au coeur, il est temps de le sortir". La rue a alors été bloquée
par
une barricade enflammée, faite de meubles, matelas et fagots de bois.
Il
ne restait plus personne quand la police est arrivée.

Les maisons du Callejon étaient occupées depuis un an et demie. Dans
le
centre social Sin Salida (http://sinsalida.squat.net/) est né
Alcachofa
(http://alcachofa.pimienta.org/), groupe d'hommes contre le patriarcat.
S'y sont aussi déroulés des ateliers d'informatique libre avec le
hacklab RAM (http://ram.squat.net/), entre autres réunions.

Le communiqué collé dans le quartier est sur Indymedia Barcelone:
http://barcelona.indymedia.org/newswire/display/303646/index.php