LES PAYS DE COCAGNE
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 La potence

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buenaventura
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buenaventura


Nombre de messages : 2539
Date d'inscription : 17/02/2005

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MessageSujet: La potence   La potence EmptyMar 2 Jan - 9:27

La potence: canard méchant, la portence, volatile noctanbule, sors ces jours-ci, son premier pavé de l'an...

il nécessite d'un-ou deux - ou qui, pour se coller aux murs géôles de nos opa-cités, pour en ouvrir les fenêtres colorées, sur les monde de nos existences rêvées...

si d'aucun en veule (hihi).., soit coller de concert, ou quoi, ... annoncez la couleur...
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buenaventura
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buenaventura


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MessageSujet: ..   La potence EmptyMer 3 Jan - 13:52

LA POTENCE : CANARD ACQUEUX, LA POTENCE PRESSE BITE

- www.barricades.tk -


pourquoi je suis …… pourquoi je ne suis pas…..

ANTIPATRIOTE CAPITALISTE



Le capitalisme est un réflexe infantile pusillanime qui installe l’humain dans des rapports de productions de quantités, et c’est tout.



Le patriote s’éteint pour tenter en vain, de bouter les projections de son effroi, de son indigence et de ses désespoirs hors de tout, et d’abord hors de ça. Ça, désigne son intérieur géographique, puisque point d’histoire, de dialectique ou de poésie, aux abandons désertiques de son crane.



Le capitaliste peuple ses vacuités des ombres, des peines d’autrui. Il est relatif à la misère qu’il dispense et vante son privilège de contrôle et/ou de prépotence sur autrui.



Le patriote, peine a composer des trames d’existence par lui même. Il ne s’oriente que sur la déroute de l’autre-ennemi , qu’il exclu d’un monde ou lui même n’a pas de place.



Le capitaliste n’est pas violent. Il est d’une grande et implacable brutalité dès lors qu’il nuit aux citadelles inexpugnables de l’impunité. Il ne connaît pas les notions de courage, d’aventure ou de solidarité. Seuls, agitent ses bras, les calculs inlassables qui classifient, notent et norment ses régressions des domaines de la lutte.



Le patriote n’est pas violent, il est d’une extrême et implacable brutalité, dès lors que celle-ci s’agite aux conforts impune du groupe. Sorti du grégaire point de salut, il insupporte que quiconque porte ombrage à ses chefs, dont il nécessite le verbe tel un vampires le sang.



Le capitaliste grandira, deviendra adulte dans sa tête et prendra dès lors les envols joviaux, se penchants sur ces penchants sales et méchants d’un passé certes miséreux et improbable mais désormais passé. Souhaitant à autrui et à sois même, enfin autre choses que les choses communes qui l’y ont ceint.



Le patriote grandira aussi, et enfin, s’existera dès lors qu’il aura fait d’autrui ses paris, dès lors qu’il aura fait de lui un pair.



Le capitaliste est le patriote du calcul, le patriote le capitaliste du recul.



Ils ne forment qu’un, ils sont le même processus, la même régression crasse, ils sont la part de chacunEs de nous qui s’effraie de ne pas reproduire les modèles et qui insupporte qu’on les reproduise mieux. Ils ne sont que relativement à ceux-là, et toujours bien imparfaitement les petits soldats qui n’on cure : ni de qui ils sont, ni de comment ils sont dès lors que ; ensemble il vont. Que ce soit à l’abîme peut importe.



S’en éloigner c’est se rapprocher de la liberté. Et s’en éloigner suffisamment, à en perdre tout souvenir, c’est enfin se donner les possibles incommensurables des devenirs ensemble, des devenirs émancipés, des devenirs maintenant.



[size=12]Pourquoi je suis anticapitaliste, pourquoi je suis pas patriote,



C’est pour cesser les peur des peurs, ou de les asséner.

Cesser d’en être astreint, contraint contrit biaisé.

Les cesser, c’est commencer d’exister ses rêves,

et commencer de les colorer, c’est cesser les vies misères.



Tout commencer, c’est finir les nids -vipères.

Ce le pouvoir, qui décrépit qui désespère,





Dès lors abolis tes craintes ,

cesse de fuir, termine tes reculs :

sans peur, ni fois et sans calculs,

Prend la potence, lève-en maintes ,

Tu brise dès lors du patron les mandibules.

[




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