|
| Maison de Paille | |
| | Auteur | Message |
---|
buenaventura Langue pendue
Nombre de messages : 2539 Date d'inscription : 17/02/2005
| Sujet: Maison de Paille Mer 31 Oct - 13:21 | |
| MAISON DE PAILLE
La Municipalité rompt la trêve et donne un ultimatum de 20 jours pour démolir la maison autonome et écologique, dont la construction a débuté le 24 août sous l'avenue César-Roux. En cas de refus de démolir, le syndic Brélaz annonce déjà l'évacuation forcée. La municipalité fait miroiter la promesse d'un autre terrain, mais refuse que la maison actuelle soit habitée, même de manière transitoire. Les occupant-e-s refusent ce chantage, car ne pas habiter viderait le projet de son sens: en tant que solution de logement pour une partie du collectif, et en tant qu'expérience vivante. Tout soutien est bienvenu, en particulier pour participer au chantier et aux différentes actions et activités prévues. D'autres formes de soutien sont bienvenues: envoyer un courrier des lecteurs aux journaux, en parler autour de vous ou tout simplement passer et échanger infos et arguments. Programme Jusqu'au 1er novembre: isolation et installation du chauffage. 2 et le 5 novembre: phyto-épuration. 6 novembre, à 18h: conseil communal au Casino de Montbenon, rassemblement et action théâtrale. 10 novembre: fête d'inauguration dès midi. Infos détaillées bientôt
Réponse à des attaques lues dans la presse:
« Le projet n’est pas novateur. » (O. Français) M. Français ne sait pas de quoi il parle, il ne s’est pas intéressé au projet. Il ne s’agit pas d’innovation technologique de pointe, mais d’une combinaison de techniques accessibles qui permettent un habitat réellement respectueux de l’environnement. A notre connaissance, il n’existe pas en Suisse de maison coûtant moins d’un million qui soit aussi cohérente, écologique dans sa totalité. L’AUTOCONSTRUCTION COLLECTIVE et la RECUPERATION de matériaux nous ont permis de réduire les coûts de construction d’un facteur 10, voire presque 100. A l’avenir, ce type d’organisation sera nécessaire pour satisfaire les besoins vitaux. Il n’existe que 3 ou 4 constructions en BOTTES DE PAILLE et ENDUITS DE TERRE CRUE en Suisse, le matériau n’y est pas encore homologué. Les constructions contemporaines sur PILOTIS sont hyper-marginales, les initiatives intelligentes comme Domobile sont bloquées. On coule des dalles de béton pour un oui ou pour un non, et la colline du Mormont à Eclépens n’existe bientôt plus grâce à Holcim. La combinaison TOILETTES SECHES + PHYTO-EPURATION se heurte à l’obligation de raccorder aux égouts et aux réticences de toutes sortes : on peut compter les réalisations sur les doigts de la main. Comment ose-t-on dire que notre projet n’est pas novateur ? Si M. Français favorise les travaux publics mégalomanes (M2, Tridel) pour subventionner les entreprises privées, pariant sur une croissance débridée comme lors des « 30 glorieuses », qu’il s’abstienne au moins de nous donner des leçons sur ce qui est novateur.
« Leur projet n’est pas écolo, avec leurs eaux usées. » (O. Français) L’écologie du tout-à-l’égout ne nous convainc pas, même avec une station d’épuration. Celle de Vidy n’est d’ailleurs pas à même de traiter les micro-polluants qui vont ensuite dans le Léman. Les excréments ne sont pas des déchets et ne devraient pas être mélangés à l’eau potable. Ils sont d’une grande valeur pour la terre si on les composte avec des copeaux comme nous le faisons. Il nous reste effectivement des eaux de lavage à traiter. Nous n’y mettons que des produits biodégradables et nous les enverrons dans notre installation de phyto-épuration autonome, dès qu’elle sera prête. L’eau aura ensuite une qualité suffisante pour être rejetée plus bas dans une tranchée draînante, ce que nous vérifierons quitte à augmenter le nombre de bassin dans le cas contraire. Dans les écosystèmes naturels, le déchet n’existe pas. Ce ne sont pas les êtres vivants qui génèrent des polluants, c’est l’industrie.
« L’écologie est nécessaire mais elle n’autorise pas toutes les dérives » (P. Oberson) On aimerait faire de l’écologie, ou du développement durable, en changeant le moins possible l’économie : les gouvernements se soucient de croissance durable, pour assurer des profits durables aux actionnaires… Les autorités n’ont agi que frileusement face au changement climatique, elles commencent à peine à prendre des mesures contraignantes car le pétrole devient cher et menace la croissance. (Le baril de pétrole va atteindre les 100 dollars cet hiver, on craint qu’il atteigne 300 dollars d’ici une dizaine d’années). Ceux qui disent aujourd’hui « l’écologie est nécessaire » parce qu’ils n’ont plus le choix ne se soucient en fait pas de la planète ni de la majorité de ses habitant-e-s. Nous ne voulons pas exploiter chaque ressource jusqu’à sa limite ultime, car il ne restera simplement pas une planète viable d’ici quelques années supplémentaires de ce « développement ». Il faut changer de logique de construction, de consommation, de production pour s’approcher d’un respect réel qui passe par une décroissance économique. Alors si l’illégalité de notre démarche constitue une « dérive » qui va trop loin, ça veut dire que la loi passe avant le débat sur l’avenir. C’est ça qui serait inacceptable.
« Chacun se doit de respecter les lois » (D. Brélaz) Si les lois favorisent la destruction de la planète et la spéculation, il faut les braver ! On a convaincu les citoyens d’accepter que les propriétaires puissent pratiquer des loyers abusifs en les adaptant au « prix du marché ». Personne ne conteste la loi qui permet aux prix du terrain d’exploser. Aucune loi ne dissuade d’utiliser des matériaux ultra-gourmands en énergie comme le béton. D’autres lois plus intelligentes ne sont pas respectées : les normes minimales d’isolation des bâtiments ne sont pas respectées dans la plupart des bâtiments neufs ; on n’hésite pas à déclasser des zones agricoles pour accueillir des multinationales (Amgen qui finalement a décliné l’offre pour des raisons de concurrence fiscale). Qui dicte les lois, qui les applique ? Et doit-on empêcher l’écologie au nom de l’écologie ? Pourquoi ne pas faciliter l’implantation d’habitations complètement intégrées à leur environnement ? Intégrée ça veut dire : a) liée à des cultures (potager, verger, champs) ; b) pas d’empreinte définitive au sol = pas de dalle en béton; c) traitant et recyclant sur place les matières organiques (déchets végétaux, excréments, eaux usées) ; d) autonome en énergie.
« A quand une nouvelle maison illégale érigée au parc de Valency ? » (Berner, service cantonal du développement territorial) Nous n’aurions jamais construit pour durer dans un parc utilisé par la population. A plusieurs reprises, des lieux publics ont été occupés provisoirement pour dénoncer pour dénoncer des faits graves : expulsions de requérant-e-s d’asile, personnes à la rue, étudiant-e-s en manque de logement, … Cette occupation-ci dénonce l’absence d’habitat écologique abordable, la spéculation et le bétonnage des villes et des campagnes. Nous nous sommes installé-e-s sur un terrain inutilisé, nous ne dérangeons aucun usage réel, cette construction exemplaire mérite donc de perdurer et d’être habitée.
« Il s’agit des prémices d’un nouvel espace insalubre de non droit. » (P.-A. Voiblet) Il s’agit pour nous d’une zone d’autonomie. Le préjugé qui affirme que l’autonomie mène nécessairement à l’insalubrité est une insulte pour les gens qui désirent prendre leur vie en main. Si M. Voiblet avait vu ce terrain avant notre arrivée, il saurait qu’il était jonché de déchets et que ce n’est plus le cas. Car lorsqu’on vit quelque part, on s’en occupe.
« L’expérience est intéressante, mais pas question que quelqu’un y habite. » (D. Brélaz) La ville a besoin de lieux de vie, pas de musées. Une crise du logement aiguë sévit depuis 2002 : les loyers ne cessent d’augmenter, les listes d’attentes sont longues pour obtenir des logements subventionnés, la Ville loge des gens au camping. Nous avons besoin de maîtriser notre habitat, mais les maisons rénovables par des coopératives sont rares et les prix du terrain rendent cette « alternative » plus chère qu’une location sur le marché… Dans ce contexte, refuser un habitat à des gens qui s’en sont construit un sur un terrain inutilisé s’oppose au bon sens. L’écologie humaine n’est pas qu’une question de matériaux. Ceci est une expérience d’habitat, qui perdrait tout son sens si nous nous limitions à y mener des « activités de jour ».
« Vous vous appropriez un terrain public pour votre compte » (un visiteur) Ce terrain est en fait bien plus public maintenant qu’auparavant. Dès le départ nous avons accueilli les visiteurs et visiteuses, en leur faisant visiter la maison et en répondant à leurs questions. Nous allons continuer à le faire, l’accès au terrain ne sera pas privatif. Nous sommes en train de créer une association pour les habitats autonomes, basée dans cette maison, dont les buts sont : a) organiser des visites de notre maison ; b) publier un document sur cette maison ; c) mettre en réseau les personnes et les associations oeuvrant pour l’autoconstruction, les habitats autonomes et la permaculture ; d) organiser des chantiers participatifs, des débats publics et des activités culturelles sur ces mêmes thèmes. « Ce petit groupe de provocateurs commande, à la veille des élections. » (O. Français) Les élections ne sont pas notre problème, nous ne voulons être l’instrument d’aucun parti. L’avenir de la planète et des habitant-e-s de cette ville ne devraient pas dépendre d’aléas électoraux. Nous ne sommes pas un groupe isolé. Notre démarche suscite l’enthousiasme d’un large public, les encouragements et les soutiens sont nombreux, notre pétition a déjà récolté 1400 signatures. | |
| | | buenaventura Langue pendue
Nombre de messages : 2539 Date d'inscription : 17/02/2005
| Sujet: ... Sam 3 Nov - 16:57 | |
| Discussion sur le thème "Organiser l'autoconstruction":
Plusieurs initiatives commencent à émerger dans la région, créant des associations de construction écologique, diffusion de savoir et aide à l'autoconstruction. Construction de maisons, toilettes sèches, phyto-épuration... Dans le domaine du solaire thermique, l'association Sebasol organise depuis plus de 10 ans l'autoconstruction d'installations performantes et coordonne maintenant un réseau d'artisans.
A l'heure où les crises énergétique et climatique commencent, l'autoconstruction et les techniques écologiques accessibles semblent indispensables pour amorcer la décroissance économique tout en gagnant enfin une certaine dignité à travers l'autonomie. Toutefois les freins légaux sont nombreux et les démarches participatives indépendantes peu reconnues.
Dans le sillage de l'autoconstruction sauvage qui a commencé cet été à Lausanne, comment peut-on mettre en réseau ces expériences au niveau régional? Profiter de l'expérience accumulée par les uns pour aider les autres à développer leurs alternatives? Réseau de construction en paille? Chantiers participatifs? Soutien à des démarches de lutte pour le logement?
Le collectif Straw d'la Bale vous invite, avec des membres de différents collectifs, à venir partager vos expériences et projets, exprimer vos propositions, vos envies, votre enthousiasme lors d'une discussion ouverte le dimanche 11 novembre à 15h, à la Maison de paille à l'avenue César-Roux 30 bis (derrière le bâtiment de l'Espace Autogéré /ex-dolcevita)
Faites passer l'info! | |
| | | buenaventura Langue pendue
Nombre de messages : 2539 Date d'inscription : 17/02/2005
| Sujet: ... Dim 4 Nov - 14:45 | |
| LA MAISON DE PAILLE MENACEE La Municipalité de Lausanne rompt la trêve et donne un ultimatum de 20jours pour démolir la maison autonome et écologique, dont la constructiona débuté le 24 août sous l'avenue César-Roux.En cas de refus de démolir, le syndic Brélaz annonce déjà l'évacuationforcée. La municipalité fait miroiter la promesse d'un autre terrain, maisrefuse que la maison actuelle soit habitée, même de manière transitoire.Les occupant-e-s refusent ce chantage, car ne pas habiter viderait leprojet de son sens: en tant que solution de logement pour une partie ducollectif, et en tant qu'expérience vivante. Nous nous sommes engagés àpartir dès l'obtention d'un autre terrain pour y construire une maison enpaille plus aboutie pour une vingtaine de personnes.Tout soutien est bienvenu, en particulier pour participer au chantier etaux différentes actions et activités prévues. D'autres formes de soutiensont bienvenues: envoyer un courrier des lecteurs aux journaux, en parlerautour de vous ou tout simplement passer et échanger infos et arguments. *** PROGRAMME DES ACTIVITES à la maison de paille av. César-Roux 30bis, Lausanne 6 novembre à 18h: rassemblement devant l'entrée du conseil communal pourdemander la levée de l'ultimatum de démolition7-9 novembre: travaux pour rendre la maison habitable d'ici àl'inauguration 10 novembre dès midi: inauguration publique de la maison 10novembre 19h30: concert de hip-hop avec La Gale et Rynox11 novembre 15h: discussion sur le thème "Organiser l'autoconstruction" A bientot!le collectif Straw d'la Bale | |
| | | buenaventura Langue pendue
Nombre de messages : 2539 Date d'inscription : 17/02/2005
| | | | buenaventura Langue pendue
Nombre de messages : 2539 Date d'inscription : 17/02/2005
| Sujet: ... Lun 14 Jan - 14:35 | |
| L’INCENDIE DE LA MAISON DE PAILLE... Vous qui avez suivi, soutenu, visité la maison de paille de Lausanne, nous tenons à vous remercier du fond du coeur, tout d'abord. Et ensuite à vous informer de ce que nous pensons être la vérité, ainsi qu'à solliciter à nouveau votre soutien. Quelques éléments de réponseLe collectif Straw d’la bale souhaite vous donner sa version des faits concernant l’incendie qui a ravagé la maison le 21 décembre à 4h00 du matin. Bien que la police et les médias aient très (trop) rapidement privilégié la thèse d’un accident dû au poêle à bois, nous pensons qu’il s’agit d’un incendie criminel, en nous basant sur les éléments suivants. Les indices...1. Selon les rescapés de l’incendie, le seul endroit qui brûlait lorsqu’ils se sont réveillés se trouvait au coin sud-est de la maison, dans l’isolation, sous le plancher. A plus de 3 mètres du poêle. A un endroit aisément accessible de l'extérieur.2. Selon nos observations, sur les décombres, le segment de poutre du plancher le plus attaqué par le feu, se trouve précisément dans ce coin de la maison. Cela indique qu’il a brûlé plus longtemps. 3. Si l’on suit l’hypothèse officielle d’une braise tombée du fourneau, qui aurait mis le feu en faisant bouronner la paille de l’isolation, le départ de feu aurait été placé près du poêle, entre les poutres centrales, plutôt que dans le coin de la maison. 4. De plus, si la paille avait bouronné, cela aurait généré de la fumée, qui aurait indisposé les habitants, ce qui n’a pas été le cas. 5. Vers 01h00, au moment de se coucher, tout était normal, puis à 03h30 (soit 15 min avant le départ estimé par les pompiers) quand un des habitants s’est relevé, il n’a rien remarqué de spécial. 6. Au moment où ils sont sortis de la maison pendant l'incendie, l’un des habitants a observé que la porte du fourneau était fermée et que rien ne brûlait à l’intérieur de la maison.7. On a aussi constaté que les meubles disposés près du fourneau n’avaient pas entièrement brûlé. (Notons aussi la disparition miraculeuse du disque dur d'un ordinateur pendant la brève enquête suivant l'incendie...)8. L’hypothèse de l'accident se baserait sur 2 suppositions: qu'une braise parvienne à se glisser entre les planches du plancher; qu'elle parvienne à traverser la bande adhésive qui les joignait par dessous et avoir encore suffisamment d'énergie pour enflammer la paille de l'isolation inférieure. L'espace entre les planches était de 2 mm maximum. Nous avons essayé, par reconstitution, de faire tomber de la braise incandescente, dans une telle fente: rien à faire. Puis de faire tomber une braise de 2mm d’épaisseur sur de la paille : le feu n’a pas pris. Pas de paranoïa...La première chose qui est venue à l’esprit des rescapés était que qu'ils avaient fait quelque chose de faux, ce qui est typique chez les victimes d'évènements violents au moment de l'état de choc. Ce n’est qu’après avoir réfléchi posément et fait les observations ci-dessus qu'ils ont admis avoir été victimes d’un incendie intentionnel, commis par une ou des personnes malveillantes.De nombreuses personnes n'en ont pas été surprises, au vu de la médiatisation extrême dont la maison de paille a été l’objet. Certains médias et politiciens avaient appelé de manière répétitive à la destruction de la maison, rendant quasiment légitime aux yeux de certains la mise à feu de cet objet illégal. Rappelons que le 20 décembre, les journaux rendaient publique la décision de la municipalité de reporter le délai d’évacuation au mois de janvier. Drôle d’enquête...Nous déplorons que la police judiciaire ait pris les dépositions des rescapés alors qu’ils étaient encore en état de choc, voire médicalisés sous morphine. En fin de matinée, quelques heures après l'incendie, elle privilégiait déjà l'hypothèse de l'accident.La police n’a pas fait d’appel à témoin, quand bien même la vie de deux personnes a été mise en danger. Suite à tous ces éléments, les rescapés de l’incendie ont porté plainte le 27 décembre pour incendie volontaire, lésions corporelles et mise en danger de la vie d’autrui.Ils appellent toutes les personnes qui auraient été témoin de quelque chose cette nuit-là à se manifester auprès de la police et du collectif Straw d’la Bale. A qui profite le crime...Le 10 janvier, la municipalité a tenté de se débarrasser de ce qui restait de la dynamique créée par la maison de paille en discréditant les constructeurs, et en rompant toute négociation, présente ou à venir avec le collectif Straw d’la bale. La municipalité a annulé le rendez-vous au cours duquel nous devions présenter un projet de maison de paille plus grande, alors qu'elle était censée donner des précisions sur les terrains où pourrait se réaliser cette construction. Cette attitude qui consiste à se saisir de l'hypothèse qui l'arrange, comme le prétexte qu'elle attendait, alors que l'enquête n'est pas close, dénote d'un opportunisme révoltant. En nous traitant de « fumistes », de menteurs et d'incompétents, Brélaz en profite pour dénigrer toute démarche expérimentale qui ne sortirait pas des laboratoires de l'EPFL ou de l'UNIL. Cependant nous continuons à oeuvrer à la réalisation de ce nouveau projet qui veut mêler habitat vernaculaire et non nuisible, vie communautaire et ateliers, malgré l'hostilité d’une classe politique bétonneuse. Le premier pas dans ce sens est d'établir la vérité sur l'incendie. Vous pouvez nous soutenir...Pour déterminer ensemble comment continuer à soutenir le collectif Straw d'la Bale, l'Association de soutien à la Maison de paille vous invite à participer à une table ronde le samedi 19 janvier, de 13h30 à 16h30, au Buffet de la Gare de Lausanne, au grand salon du 2ème étage sur le thème "La ville est l'affaire de ceux et celles qui y vivent". Nous aimerions encore vous adresser notre demande de soutien financier, car non seulement les frais de justice s’élèvent à plus de 2000.-, mais en plus les habitants ont eu des frais élevés pour refaire leurs papiers, cartes, lunettes, ainsi que ré-acquérir livres et ordinateurs. Ceci peut être fait par exemple en rejoignant l'association de soutien, dont la cotisation est de 50.- Si des personnes avaient recueilli des coupures de presse et des photos, il serait sympa de nous faire parvenir des copies, afin de reconstituer notre dossier. Le collectif Straw d'la Bale, 12 janvier 2008Mail: autoclausanne@no-log,org CCP: de l’association de soutien à la maison de paille: 17 - 56 80 16 - 9 Site: http://autoconstruction-en-paille.over-blog.com/ | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Maison de Paille | |
| |
| | | | Maison de Paille | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |